Comment pouvez-vous contrôler l'attaque de panique?
La vie n’est pas toujours en rose, vous affrontez toujours
des épreuves qui vous aident à avoir d’expériences et à renforcer votre
personnalité, mais parfois vous vous trouvez dans une situation difficile, qui
peut bouleverser vos émotions et engendrer un problème psychologique qui est
l’attaque de panique.
Une attaque de panique, est appelée aussi une crise de panique
est la peur intense qui stimule des réactions physiques intenses, alors qu’il
n’y a pas de danger réel ou de cause apparente de peur.
1- L'influence de l’attaque de panique sur la qualité de votre vie.
Quand vous êtes victimes d’une attaque de panique, vous
croyez tout le temps que de mauvaises choses peuvent vous arriver dans votre
vie. Lorsque vous sentez que vous êtes en danger, vous voyez tout ce qui vient
de l'extérieur est forcément mauvais. Pour
vous, le sentiment que vous éprouvez est bien réel et donc vous pouvez mal interpréter les paroles et les
réactions des autres.
Vous êtes toujours effrayés, même si la situation est bonne. La
sensation d’insécurité que vous sentez, vous pousse à imaginer que quelque
chose pourrait survenir et bouleverser votre quotidien. Vous ne pouvez pas dormir et si vous dormez, vous
vous réveillez à plusieurs reprises.
2- Les symptômes de l’attaque de panique .
On ne peut pas nier que personne ne peut être à l’abri de ce
désordre émotionnel, et il peut toucher tout le monde sans exception. Cependant
personne ne veut afficher ce trouble, mais il peut être déclenché soit
spontané, sans raison et parfois pendant le sommeil, ou par un événement
traumatisant qui vous rappelle à une
situation traumatisante que vous avez déjà vécue dans le passé.
Lorsque des crises de panique surviennent, vous pouvez penser
que vous perdez le contrôle, vous pouvez avoir l’étourdissement, la transpiration,
la nausée, les frissons, la sensation de devenir fou ou le sentiment de détachement.
Vous pouvez sentir aussi la sensation d’étouffement, l’essoufflement et que vous avez une crise
cardiaque ou même que vous mourez, c’est donc un trouble psychologique sérieux
qui nécessite l’intervention d’un spécialiste. .
3- Lutter
contre l’attaque de panique
Pour ne plus paniquer, il vaut mieux de
chercher le soutien ou l’aide d’un psychiatre ou d’un médecin généraliste, pour vous en remettre. Deux formes de traitement sont préconisées : les traitements
médicamenteux et la psychothérapie. Il est possible de les adapter en fonction
de l’intensité des signes et de la souffrance ressentie.
La psychothérapie vous permet de découvrir les origines de
ces troubles sur lesquels s’appuie le thérapeute pour traiter la situation.
Les outils du thérapeute sont nombreux, pour certains cas, il
vous donne un traitement qui vous permettra de modifier les modes de pensées
qui sont responsables de la crise de panique et il vous fait apprendre la
différence entre la crise de panique et la crise cardiaque de façon à réduire
la peur.
Pour traiter la phobie sociale, il est conseillé de passer du temps avec des personnes qui ont le même
problème. Le but de ce traitement est d’apprendre à résister à l’envie de fuir
le moment où vous sentez mal à l’aise, à ne pas sentir de la
honte, à se détacher du regard des autres, à se débarrasser de la sensation
d’être jugé et donc à récupérer la confiance en soi.
Dans certains cas, le thérapeute vous propose la thérapie de groupes qui vous permet
de partager vos problèmes avec d’autres personnes victimes du même mal. Cette
méthode a beaucoup d’avantages sur l’amélioration de votre santé psychique,
elle vous permet de faire part de vos problèmes à d’autres personnes.
Le thérapeute reste toujours à votre écoute pour vous
accompagner et vous conseiller au mieux à court, moyen, ou long terme. Cela
dépend de la complexité du problème.
En absence d’un thérapeute, il est préconisé de faire des
exercices de méditation et de relaxation pour vous faire face aux situations
stressantes ou la respiration profonde pour vous gérer l’anxiété et donc gérer
la situation.
Conclusion
Il ne faut pas attendre pour consulter, que ce soit lors de
la première crise de panique ou bien après. Mais il n’est jamais trop tard
pour bénéficier d’une aide. L’évolution de la maladie n’en sera qu’améliorée.
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